Pourquoi ce blog ?

Parce qu'il est temps de repenser notre société, notre façon de vivre, notre relation au monde, aux êtres et à la nature.

Parce que la pensée ne suffit pas, seule l'action compte, je suis décidée à partager avec vous toutes mes "expérimentations" quotidiennes ayant pour but à la fois la mise en pratique de l'écologie, le renforcement du lien social, une consommation choisie, la pratique d'une éducation bienveillante, mais aussi comment j'embarque toute ma petite famille dans cette révolution.

Parce que j'ai décidé de prendre le pouvoir et d'assumer qui je suis vraiment : oui, je me pense écolo depuis des années mais il est temps d'agir écolo !

Parce qu'il ne faut pas grand chose pour changer notre façon de vivre, que c'est possible et facile de ne pas se soumettre aux dictats de la surconsommation.

Je ne souhaite en aucun cas donner des leçons, je vous propose ici mes "réflexions à voix haute".

J'ai choisi de m'engager sur un chemin, je ne suis pas arrivée à destination, je n'y arriverai sans doute jamais, mais j'avance chaque jour un peu plus dans la bonne direction :-)

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vendredi 3 janvier 2020

Trois ans après, 3 ans plus tard, il m'aura fallu 3 ans !




Nous y voilà, trois années plus tard. 

Trois années après ma rupture conventionnelle. Cinq ans après ma rupture avec mon ancien mode de vie.

Que de changements à tous les niveaux (ou presque).

Résultat de recherche d'images pour "cfppa de vaucluse"J'ai obtenu mon diplôme Universitaire du formateur d'adulte en Mars 2019 et voilà maintenant cinq mois que j'évolue dans un nouveau milieu professionnel. J'ai été embauchée comme agent de l'enseignement public agricole. Je ne suis pas fonctionnaire, je suis en CDD d'un an reconductible comme formatrice d'adulte et coordinatrice de formation (j'organise des formations diplômantes), au CFPPA ce Vaucluse - Centre de Formation Professionnelle et de Promotion Agricole. Je recrute donc des apprenants, des formateurs et je gère les plannings de formation, les groupes d'apprenant au niveau de l'entente, de la motivation, de l'implication, au niveau humain quoi. 



Je dois bien dire qu'au cours de ces premiers mois d'exercice j'ai vécu ce qu'on appelle l'ascenseur émotionnel

Je manquais de confiance en moi : Vais-je assurer ? Comment répondre au mieux aux attentes des référentiels de formation, de ma directrice, de mes collègues, de mes apprenants. Aurais-je la bonne posture ? Celle du révélateur de talent, celle du facilitateur d'apprentissage ? Surtout pas une posture de supériorité, mais une posture à la fois humble et rassurante. 

Parce que reprendre des études à l'âge adulte c'est pas rassurant. Ça replace dans un cadre d'apprentissage, ça nous renvoie à l’école, à ce que l'on y a vécu, comment on l'a vécu. Ça bouscule, ça incommode. 
Ça fais flipper, on a envie de réussir,  mais on doute de soi-même. Ou bien on se dit que ça ne dépend pas que de nous et oui on flippe !. Et puis ça oblige à gérer les relations de camaraderie, pas toujours évidentes. 
Je ne connais que trop bien tout ça, je l'ai vécu en passant mon diplôme de formatrice.
Les groupe de formation d'adulte ont des comportements d'adolescents avec leurs doutes et leurs rebellions. 

A côté de ça, de ces questionnements quasi quotidiens sur le "fais-je bien ?", je vis de grands moments de plénitude, de joies, d'émotion et de chaleur humaine, mais surtout, ce que je fais à un sens profond à mes yeux.


Je transmets le message que produire autrement notre alimentation est un enjeu essentiel et nous étudions comment produire autrement, en faisant appel à l'agro-écologie. 
Moi l'ingénieur agronome formée il y a 15 ans à produire en appliquant des "recettes toutes faites" faisant appel à l'agroindustrie, je participe à former les niveaux agriculteurs à produire autrement !



Ce que je fais est bon pour moi, en accord avec mes valeurs de respect de la terre et du vivant. Je me soigne, je soigne mon foie, ma vésicule, car mes actes sont en accord avec qui je suis. Voir l'article qui parle de ce problème de santé qui a contribué à ma démission il y a trois ans. 
Mais surtout ce que je fais est bon pour beaucoup plus que moi.

Ma façons de transmette, c'est moi : je fais mon maximum pour ceux qui sont devant moi, j'essaie de les écouter, de les entendre et de répondre à leurs demandes, à leurs interrogations du mieux que je peux. Je me mets en quatre. Je le fais avec enthousiasme, avec plaisir, avec implication. Je ne suis pas leur mère comme dirait un de mes collègues formateur, non ! Mais je suis leur partenaire vers une nouvelle vie, vers une vie meilleure, vers eux même, vers leur accomplissement personnel. Et parfois leur entourage ne les soutien pas, alors il faut que nous, formateurs, les encouragions à tenir bon. Une reconversion professionnelle vers l'agriculture peut se faire à tout age, les apprenants viennent d'horizons professionnels très diverses et ont des histoires de vie très diverses également. Il faut s'adapter à l’hétérogénéité de ce public,  mais les amener tous à la validation de leur diplôme.
Ce que je fais est bon pour beaucoup plus que moi. Bon pour mes apprenants, pour tous ceux qui les rencontreront et pour tous ceux qui profiteront de pratiques agricoles respectueuses et durables. Pour leur santé et celle de ceux qu'ils nourriront au sens propre comme au sens figuré.

Partir du constat terrible que l'agriculture est à l'origine de bien des dérèglements, des conflits, des destructions a été abominable et même destructeur pour moi.
Avec cette nouvelle profession, cette nouvelle éthique en agriculture, je retrouve le gout de participer au "système agricole", j'y contribue positivement.
Alors oui j'ai réussi ma reconversion professionnelle, j'exerce un "vrai" métier, qui me correspond, qui me donne envie de me lever l'âme, avec joie et enthousiasme. 
Mon grand kiff c'est de pouvoir parler d'écologie, d'agroécologie, du rôle de l'arbre dans les systèmes agricoles. Je parle de permaculture, de zéro déchet, de phytothérapie, de l'usage des plantes sauvages en agriculture, des plantes bio-indicatrices, de développement durable, de bioclimatisme, bref que des sujets qui me font vibrer véritablement. Et le vivre me fait prendre conscience à quel point c'est essentiel dans la vie !




J'ai eu de la chance de réussir à signer un contrat d'embauche juste au moment de la fin de mes droits au chômage, mais ça n'était pas tout à fait de la chance. 
2 ans après ma rupture conventionnelle, j'ai décidé de me faire accompagner par une therapeute spécialiste en thérapies brèves, parce que je n’avançais pas professionnellement, je ne savais toujours pas ou j'allais aller. Elle s’appelle Céline Jauffret, sa page Facebook, c'est par ici ! C'est elle qui m'a prêté son terrain pour y planter ma forêt jardin. On s'est côtoyées pendant 1 an au travers du terrain. Et puis cette personne qui s'est trouvée sur ma route était thérapeute, depuis peu, après un changement de vie. Elle m'a dit un jour : "Voilà 1 an que nous nous sommes rencontrées et tu tiens toujours le même discours, tu ne sais pas ce que tu vas faire, tu ne sais pas où est ta place. Je te propose de t'accompagner pour avancer." Alors, j'ai dit oui ! 
Elle m'a libérée de mes propres limites mentales. Et m'a permis de me recentrer sur ce que je voulais vraiment. Alors aujourd'hui, je fais un métier qui a du sens, je ne travaille qu'a 70 % comme je le voulais (je m'étais fixé 80 % comme maximum), j'ai 14 semaines de congés payés (comme c'est bon ! mais nécessaire...), je suis présente pour mes filles, mes proches, je gagne un bon salaire, suffisant pour notre rythme de vie, j'ai des collègues que j'apprécie beaucoup et de plus en plus, mes missions me passionnent. En bref quitter un bouleau sans savoir ce qu'on va faire, sans avoir de plan, c'est possible, ça marche. Grâce aux droits au chômage c'est clair, j'ai pu tirer 3 ans en travaillant ponctuellement, ce qui m'a permis de décaler mes droits de presque un an. 


3 ans c'est le temps qu'il m'a fallu, j'ai erré, je me suis tellement questionnée, je me suis écoutée, j'ai fais ce qui avait du sens pour moi au quotidien, je me suis laissée aller à faire ce qui me parlait et qui me faisait vibrer : découvrir les plantes sauvages comestibles, les plantes médicinales avec Michèle Bauset, Pharmacienne, me former auprès de Gérard Ducerf, à l'oigine de la théorie des plantes bio-indicatrices, auprès d'Eric Escoffier en Permaculture et systèmes régénératifs, auprès de Fabrice Desjours sur les forêts jardin. Tout ça a été beaucoup d'introspection et de replis sur moi. 



Aujourd'hui je me rouvre sur l'extérieur, sur le monde en m'étant libérée de mes questions intérieures. Je me sens bien, je suis libérée de l'angoisse et du questionnement, Il ne me reste plus qu'à exercer et progresser dans ce nouveau métier qui satisfait ma curiosité intellectuelle, qui m'oblige à me tenir informée des évolutions du métier d'agriculteur, des innovations agro écologiques, à apprendre continuellement, a être en relation avec les autres au quotidien, les accompagner dans leurs projets de vie, leur permettre de se réaliser comme moi je me réalise aujourd'hui.




Alors, il ne me vient que des remerciements pour conclure cet article, merci à tous ceux qui ont permis ce cheminement vers moi même, à ceux qui m'ont soutenue, ceux qui m'ont encouragée, félicitée, à ceux qui m'ont fait confiance en centre de formation, à Emilie qui m'a permis de découvrir le CFPPA de Vaucluse où j'exerce aujourd'hui. 

Merci Céline pour ton aide précieuse, merci a mon mari qui n'a jamais été impatient, ni inquiet ou qui ne l'a pas montré... 
Merci à la vie, merci à ma bonne étoile. 
Merci.




dimanche 17 novembre 2019

L'eau, l'hygiène et les autres...

Aujourd'hui j'ai envie de vous parler de ma salle de bain presque zéro déchet, ma douche plus précisément : 




Un savon saponifié à froid pour le corps, qui peux également être utilisé pour le brossage de dents (si si, c'est possible) ou pour les cheveux (c'est le cas de mon mari, par exemple). Le savon de Marseille étant fabriqué à chaud, il est beaucoup moins adapté au lavage de la peau, par contre il est parfait pour la lessive ...




Ma brosse à dent compostable (pour rappel, selon les principes du zéro déchet, ce que je ne peux ni refuser, ni réduire, ni réutiliser, ni recycler, je dois pouvoir le composter !!) en bambou.




Un rasoir de sûreté qui va avoir bientôt deux ans et avec lequel je ne génère que des lames comme déchet  Une seule boite de lame utilisée en 2 ans.




Mon shampoing est un shampoing "minute" que je fais juste avant de me doucher, je mélange de l'eau à du rhassoul (argile marocaine, véritable "terre qui lave") et parfois j'y ajoute un peu du gel d'aloe vera et une huile végétale pour nourrir mes cheveux et mon cuir chevelu. 





Cette simplification, en terme du nombre de produit d'hygiène et en terme de leur composition, ne s'est pas faite en un jour ! 

Elle n'a été possible qu'à force de volonté et à la suite de nombreux tests qui m'ont permis de trouver les recettes qui me plaisent et qui me-nous correspondent. 
Parfois, il faut du temps pour arriver à "abandonner" ses habitudes, à en faire le deuil, à s'en détacher, à s'en désengluer comme dit Eric Escoffier...





Et puis il faut parler de la fréquence de ces douches, 
ou bain parfois, seulement pour mes filles. C'est un vrai SUJET, qui pose question, qui heurte de plein fouet les habitudes familiales. La notre a toujours été de se laver un jour sur deux, en tout cas c'était la mienne depuis toute petite. Cette fréquence peut déjà étonner les personnes qui se lavent quotidiennement. Il me faut préciser que j'entends ici par se laver : prendre une douche ou un bain. 
En ce qui nous concerne, nous nous lavons beaucoup moins que la moyenne des français, allez, je ne sais pas si j'en ai déjà parlé ici, mais voilà, je balance : nous nous lavons 1 fois par semaine !

C'est notre rythme "normal", celui que nous avons quand nous travaillons, en ce qui nous concerne et c'est le cas pour nos filles également lorsqu'elles vont à l'école ou au centre de loisir. En été, en vacance, nous ne nous lavons pas sur des périodes encoooore plus longues, qui vont jusqu'à 15 jours, mais nous nous baignons à la rivière ou à la mer, il est donc plus juste de dire que nous n'utilisons pas de produit d'hygiène pendant plusieurs semaines. 
Concernant le lavage des cheveux, mes filles n'utilisent pas du tout de shampoing, mais, de temps en temps (1 fois par mois) je leur frictionne les cheveux au vinaigre de cidre dilué dans l'eau, et puis c'est tout.


Pour ce qui est des parties du corps à laver plus régulièrement qu'une fois par semaine, il y a le gant, le savon et l'eau, la toilette de chat quoi :-)



Là aussi, ça s'est fait avec le temps, en "testant", car la peur des odeurs, des cheveux gras, et autres a priori étaient bien présents. D'ailleurs aujourd'hui j'en parle sur ce blog, mais en "société" je n'ose pas toujours. Bon bein là, les gens vont savoir, et je trouve ça bien. J'espère qu'ils se diront que ça ne se voit pas [et que ça se sent pas ;-)] D'ailleurs si ça ne se sent pas c'est parce que j'ai un merveilleux déodorant naturel fait maison, le plus efficace que j'ai eu la chance de tester ! La recette du déo maison, c'est par ici.



C'est écologique et tréééés économique : notre dernière facture d'eau à 5, 2 adultes et 3 enfants, pour 1 an, s'élève à 71 m3, soit 187 €. Il y a 3 ans, elle s'élevait à 150 m3 soit 480 € !!

Pour référence, on sait que la moyenne des français pour une famille de 4, 2 adultes et 2 enfants est de 180 m3.

Alors oui, on peut ralentir la fréquence des douches sans pour autant se marginaliser :-) [en tant que formatrice je suis en contact avec du monde tous les jours, en plus de mes collègues de travail] bien sûr, cela dépend aussi de nos activités, mais essentiellement de notre rapport à la propreté en société, et là, il y a une vrai marge de manœuvre !



Spéciale dédicace à ma fille de 12 ans ;-)

Je propose des ateliers de fabrication de produits d'entretien ménager, d'hygiène ou de cosmétiques, à base d'ingrédients naturel et eco responsables, sur la région d'Avignon - Vaucluse, à domicile et au Mas des Vertes Rives à Châteauneuf de Gadagne, pour me contacter ou en savoir plus, utilisez ma page Facebook "Agir pour soi et pour le planète" ou bien au 06 20 65 72 31.

Prenez soin de vous, le reste suivra.



jeudi 26 janvier 2017

Viggo Mortensen - trouver le verbe - l'action expectative !



En ce moment je publie peu d'articles, je suis encore en train d'observer, je suis encore au bord du chemin. 
Je suis à l'arrêt, physiquement, en ce qui concerne ma vie professionnelle, seul mon esprit vagabonde.
Je suis dans l'action de l'observation ;-)


jeudi 8 décembre 2016

Les plantes sauvages comestibles ET médicinales !! [comme si ça n'était pas suffisant !!]

Depuis que j'ai assisté à une conférence présentant les principes de la permaculture, mon esprit en a pris un coup en terme d'ouverture !! Je vais vous parler d'un des nombreux thèmes qui m'ont chamboulée ce jour là.
La conférence avait lieu à Avignon au printemps dernier et était présentée par Sylvaine Anani et Eric Escoffier des associations "les mains sages permaculture" pour l'une et "permaculture sans frontières" pour l'autre. 

Moi, bientôt 40 ans, de formation d'ingénieur agronome, je n'avais absolument pas connaissance de ce qu'on appelle les plantes sauvages comestibles. J'avais bien entendu parlé des salades de pissenlit, mais c'était à peu près tout!



lundi 10 octobre 2016

Mon distributeur de mouchoirs en tissus !!!

Je ne résiste pas au plaisir de vous partager cette jolie nouveauté de la maison ! 
Le froid est de retour, le mistral, les écarts de températures et bien sûr, les nez qui coulent !!!

Depuis l'hiver dernier les mouchoirs en tissus ont fait leur apparition dans la maison, grâce à ma mère qui les avait stockés "au cas où" et je l'en remercie vraiment !!

Mais la changement d'habitude n'a pas été évident ! 

Ma grande fille s'y est mise facilement, mais ma deuxième fille a fait de la résistance ! Et puis, ces mouchoirs, ils étaient rangés dans un endroit difficile d'accès pour elle, ce qui l'empêchait de se servir toute seule quand elle avait besoin de se moucher !! 

Alors, grâce à la conférence donnée par Béa Johnson, la Papesse du zéro déchet (article dédié ici) à laquelle j'ai assisté l'été dernier, et au cours de laquelle elle montrait un bocal rempli de mouchoir faisant office de distributeur, j'ai moi aussi mis en place ce "truc" simplissime et terriblement efficace !


J'ai placé mon bocal assez bas pour que ma deuxième fille puisse l'attraper, mais suffisamment haut pour que la petite dernière n'y arrive pas....

Et ça marche !! Tout le monde peut se servir et se moucher facilement [Enfin, mon cher et tendre, lui, je ne l'ai pas vu encore se moucher dans du tissus, il fait de la résistance !!]

Le zéro déchet c'est facile, pratique, et tellement bon pour la planète !!! 

jeudi 6 octobre 2016

TripoRteur, mon amour !! Ou comment j'ai basculé vers les transports en commun "doux"

Après avoir décidé de quitter mon emploi, et d'être disponible au moment de la rentrée scolaire, il m'a pris l'irrépressible envie d'amener mes filles à l'école et chez la nounou en vélo.

Je ne suis pas du tout cycliste dans l'âme ! J'ai appris à faire du vélo très tard, vers 14/15 ans, car, avant, je n'arrivais pas à tenir l'équilibre...
Et, je dois l'avouer, j'ai peur de rouler à vélo dans la circulation !!
Mais il n'y avait rien à faire, cette idée ne me quittait pas, peut être due, entre autre, au fait d'avoir appris [via le documentaire "DEMAIN" notamment] que les hollandais gagnaient énormément en qualité de vie grâce au vélo...


mardi 20 septembre 2016

La peur bloque l'action, le changement et la magie de la vie...

A force de mettre le doigt sur le manque de cohérence entre mon mode de vie et mes désirs profonds : mettre la nature, mes enfants et l'écologie au cœur de mon quotidien, pouvoir faire plus d'échanges, de rencontres, de partage, faire ce que j'aime vraiment, le plus possible et le plus souvent possible et bien, j'en suis venu à réaliser que je n'avais plus d'autre choix que d'agir !

Mais comment réussir à agir ? je vous détaille ça en 6 points :-)


1- La plus grande difficulté à surpasser : la peur.

lundi 29 août 2016

mercredi 20 juillet 2016

Comment et avec quoi se laver ? ou pas !


Après avoir découvert ce que contenait les gels douches du commerce, même ceux dits "bio" ou ayant l'air "Naturels", je dois dire que j'ai pris peur, car ces produits utilisés pour se laver... finissent en quasi totalité dans nos canalisations.

lundi 2 mai 2016

Un petit geste qui peut avoir une GROS impact :-)

Voilà un petit super truc que j'adore faire depuis quelques mois : je garde les enveloppes des courriers qui arrivent [encore] dans ma boite au lettres, une fois vides, même si elles sont déchirées [Faut que je pense à les ouvrir proprement, ce sera mieux !]
Le but étant de les réutiliser quand je dois déposer une enveloppe dans les boites au lettre de ma banque, du service de la scolarité de ma mairie, etc...
Je prends donc une enveloppe usagée, sur la quelle j'écris de ma plus belle plume un petit texte expliquant ma démarche : "enveloppe réutilisée à des fins environnementales" et j'ajoute un petit smiley :-)



Je me dis qu'en faisant ce geste simple, cela doit marquer les gens qui les reçoivent et peut être qu'ils en feront de même un jour !! 

vendredi 29 avril 2016

Je suis une illuminée et j'assume !

En hommage à une discussion avec une amie, ma petite Steph 😊 !



Je vous souhaite du courage, d'arriver à vous détacher du jugement des autres, d'être heureux en agissant en accord avec vous même et pas selon les injonctions de notre société !

Merci de me suivre, merci de m'encourager, merci d'être attentifs et de vous laisser gagner doucement par mes idées :-)



mercredi 17 février 2016

Ma révolution personnelle - Le Choix de refuser

Comment en arrive-t-on à refuser cette société que l'on nous propose ? 
Depuis longtemps, depuis toujours même, ce choix était là, au fond de moi prêt à prendre vie, attendant le moment opportun.

Je ne suis plutôt discrète, heureuse de vivre, de travailler dans une PME qui me permet de ne pas avoir à m'inquiéter en fin de mois. J'ai trois enfants, un mari qui m'aime et que j'aime. Une vie assez normale en somme, sans extravagance, si ce n'est une passion pour la culture cubaine et une fort lien à la nature. J'aime les gens, même si je ne sais pas toujours le leur dire.